25 avril
L'œillet De la lumière effeuillée Apparaît à mes yeux De langoureux œillets A jamais silencieux De la fleur aux pleurs Il n'y a que quelques pas Mais de celle-ci au bonheur Il faut partir de très bas.
Cri et Tics: concept artistique encore infini et à composter
L'œillet De la lumière effeuillée Apparaît à mes yeux De langoureux œillets A jamais silencieux De la fleur aux pleurs Il n'y a que quelques pas Mais de celle-ci au bonheur Il faut partir de très bas.
L’écho de Chloé Tic-Tac ! Qui attaque ? Pile-face à la chasse, Passe, file ! Une idylle. Fils pâle, un beau mâle… … Un beau mâle Que tu fisses pâlir Devant la belle idylle Passant et filant, Tel un chat se pliant Face à l’attaque Qui tac-tic ment A son...
L'Onir Le corps n'a de muse que sa propre pensée : L'Onir qui aspire et inspire au plus profond De son âme, le visage inconnu et voilé De l'héroïne évadée des rêves en chansons. Tu assouvis le songe d'un esthète éveillé. Tes mots m'exaspèrent en quatrains...
L'Abbé tise Rien n’a de sens Pas même l’absence D’amour et tendresse Aux contours de ses tresses. Rien n’a d’aisance, Même complaisance Attendrie de pitié Aux pourtours des bénitiers. Rien n’a d’offense Pas même l’enfance Meurtrie tous les soirs Aux détours...
L’AMITIE L’ami a mis L’amitié À moitié Amidonnée Dos à dos. Nez à nez L’animé Met l’anis Abîmé À l'aîné Mal-aimé. Face à face Je m’efface Et repasse Dans l’impasse D’une crevasse Vissée du vice Et versa déversé La nuit nuit L’ennui De minuit Qui fuit...
L’ARCADIESE Allons Pygmalions de l’écrit L’écritoire est préparée, Contre nous de l’hypocrisie L’étendard noir est torturé. Inspirez-vous dans les campagnes Mûrir ces colosses obsessions, Elles viennent en belles sensations Abréger l’insomnie votre bagne....